Cette problématique est d’actualité à cause du nombre croissant des demandeurs d’emplois en France. Beaucoup ont déjà fait face à de nombreux problèmes lors d’un entretien d’embauche. Cette situation désagréable peut déstabiliser plus d’un candidat à un poste, aussi préparé soit-il. Etre assis face au recruteur est déjà une épreuve qu’il faut bien négocier. Cela ne doit toutefois pas déstabiliser à un tel point que le reste de l’entretien soit complètement raté.
Le responsable est peu concerné
Il se peut que lors de l’entretien la personne en face soit distraite et ne soit pas très impliqué. Elle peut montrer des signes d’impatience ou d’énervement. Certains recruteurs adoptent d’ailleurs des attitudes désinvoltes dans le but de déstabiliser le candidat. Ce dernier se doit d’être concentré et de prendre en main la situation. Lors de l’entretien, le candidat avance ses expériences et ses divers atouts qui feront pencher la balance de son côté. Cela peut aider à recentrer l’entretien sur votre candidature. Toutefois, il peut demander un report de l’entretien si le recruteur n’est pas dans son bon jour. Le candidat peut se le permettre car l’obtention du poste dépend de cet entretien.
Le candidat n’a pas la réponse à une question
Le candidat peut ignorer la réponse à une question. Toutefois, il faut répondre et adopter des parades plus ou moins efficaces. Esquisser un sourire et admettre son ignorance peuvent être bien vu par le recruteur. De même, répondre à la manière d’un politicien est une bonne méthode sans toutefois trop s’éloigner du thème abordé. Le candidat peut également poser des questions afin de mieux appréhender la problématique et prendre le temps de la réflexion. Il est judicieux d’établir un parallèle entre l’expérience du candidat à la réponse et d’élaborer une méthode rationnelle pour avancer des réponses concrètes. Même si la réponse n’est pas très claire ni exacte, le recruteur peut admirer la force de caractère et la capacité de résolution d’un problème donné. Cependant, si aucune réponse ne vient, il faut admettre l’incapacité de répondre.
Le recruteur fait preuve de peu d’intérêt envers la candidature
Rien de plus déstabilisant pour le candidat qu’un recruteur qui semble opposé à sa candidature. Ce dernier peut avancer les points faibles du candidat et déduit un manque de compétence. Le candidat se doit d’adopter une approche directe en lui demandant des points particuliers qui apparaissent comme des obstacles et d’apporter les réponses adéquates.