Un entretien est l’occasion pour le recruteur de prendre connaissance du candidat pour le poste proposé au sein de l’entreprise. Si la plupart des employeurs posent des questions banales, certaines pourront embarrasser le candidat. Afin de bien répondre aux diverses interrogations, il est toujours préférable de se préparer. En général les questions se porteront sur le caractère de la personne, mais également pour son évolution. Zoom sur la bonne manière de parler de soi durant un entretien.
Parler de son caractère avec le recruteur
Le caractère d’une personne permet de définir son aptitude à faire le travail que l’on attend de lui. Parler de ses défauts peut être gênant et pourtant c’est une des questions de base que l’on rencontre le plus souvent en entretien. Y répondre intelligemment nécessite de la franchise tout en ne dévoilant que des informations non préjudiciables pour la candidature. Un autre aspect de la personnalité qui intéresse souvent le recruteur est la gérance des obstacles et de la pression. En effet, les entreprises recherchent des personnes calmes et réactives dans la résolution des problèmes. Et pour terminer, en fin d’entretien il arrive souvent que les recruteurs demandent à la personne de donner des informations sur elle. Le mieux pour répondre à cette question est de parler des exploits des anciennes carrières qui pourraient entrer en relation avec le poste pourvu.
Exposer les différentes évolutions de sa carrière
La carrière précédente du candidat est très importante pour les recruteurs, car il permet de définir les expériences de ce dernier au niveau travail. Cela peut se porter sur les pires projets tenus par le postulant. Dans ce cas, le recruteur tend à connaitre sa capacité à gérer une crise, mais surtout à en assumer la responsabilité. Lorsque le sujet se porte sur la dernière entreprise qui a employé le postulant, il est judicieux de choisir les mots que l’on utilise. En effet, cela détermine la capacité de la personne à respecter la hiérarchie. Et pour terminer, il faudra évoquer les périodes de non-emplois.